à la Commanderie du Clos MontmartreRue Norvins 9 bis
75018 Paris
du 11 au 21 octobre 2007Vernissagele jeudi 11 octobre dès 18 h. 30
L'artiste sera présentHeures d'ouverture:chaque jour de 14 à 20 heures
Contact pour rendez-vous avec Ruth Kissling:
00 41 79 654 61 34 ruthkissling@datacomm.ch
Toutes les nouvelles pour Paris: http://www.ruthkissling.ch
Hier also meine speziell eingerichtete Seite fürs Montmartre auf meiner WEB clos–montmartre
Votre Visite sur le Montmartre me ferais tout grand Plaisir !!! ---
Ruth de Bâle-Suisse Peintre
Ruth Kissling est née en 1948 à Wolfwil, dans le canton de Soleure, où elle demeure jusqu'à l'adolescence. Elle vit ensuite à Genève et Zurich avant de s'établir définitivement à Bâle. Depuis 1986, elle expose régulièrement en Suisse et à l'étranger, galeries et centres culturels.
Son travail se nourrit de son appartenance à la fois à la culture suisse alémanique et la proche latinité, caractéristique de cette ville frontière qu'est Bâle. Sa peinture est aussi ardente dans ses thèmes que dans ses couleurs.
Eternel combat de la vie avec le sexe omniprésent et la mort sous-jacente.
La musique perdue
Comme une musique perdue, se développent des lignes tracées en sensualité, des corps, des fragments de corps, qui prennent possession de l'espace de la composition, pour se résoudre, quelques coups d'oeil plus tard, en des mouvements contraires. Les proportions se décalent, reçoivent dans le rayonnement des couleurs de terre chaudes des dimensions proprement fantastiques. La nostalgie à aller au fond des choses les plus élémentaires épouse la sensualité des formes, qui sont en définitive bien plus fortes et bien plus suggestives que toutes les ombres du passé. Madeleine Schüpfer – Olten
La musique perdue
Comme une musique perdue, se développent des lignes tracées en sensualité, des corps, des fragments de corps, qui prennent possession de l'espace de la composition, pour se résoudre, quelques coups d'oeil plus tard, en des mouvements contraires. Les proportions se décalent, reçoivent dans le rayonnement des couleurs de terre chaudes des dimensions proprement fantastiques. La nostalgie à aller au fond des choses les plus élémentaires épouse la sensualité des formes, qui sont en définitive bien plus fortes et bien plus suggestives que toutes les ombres du passé. Madeleine Schüpfer – Olten
